We have a dream !
Dans le cadre de l’année olympique et paralympique, les élèves d’ULIS et de 6e ont découvert le film documentaire « We have a dream » sorti en septembre 2023.
Pascal Plisson est allé de par le monde à la rencontre de Xavier, Charles, Antonio, Maud, Nirmala et Khendo, des enfants en situation de handicap, qui vont montrer avec humour et courage, que l’éducation inclusive peut déplacer des montagnes, et que le destin est parfois plein de surprises.
Qui a dit que vivre avec un handicap signifiait renoncer à ses plus grands rêves ?
Antonio m’a particulièrement touché car il n’est pas comme les autres et son cerveau ne s’est pas développé. Mais je n’ai trop pas aimé le film, parce que ça changeait d’histoire tout le temps. Mon rêve ce serait de devenir pilote de voiture de course. Pour cela je dois d’abord passer mon permis. Daho
L’histoire et l’amitié de Nirmala et Khendo est très touchante. Elles ont aussi des rêves. Léa
J’ai aimé le film parce que ce n’est pas facile d’avoir une prothèse. Mon rêve ce serait d’être agriculteur. Pour cela, je dois aller au lycée agricole. Mathéo
La vie d’Antonio est très touchante car il est autiste et il a été adopté. Lorence
J’ai aimé le film parce que Nirmala et Khendo avaient une prothèse à la place de leur jambe. Xavier est pauvre et courageux ; mais le directeur de l’école l’aide à mieux comprendre. Mon rêve ce serait de travailler dans une pâtisserie ou dans une ferme. Pour cela, il faut que j’aille au lycée pour avoir mon diplôme. Anélia
Maud m’a particulièrement touché parce qu’il lui manquait une jambe et malgré tout elle faisait de la danse avec une prothèse. J’ai aimé le film parce que les enfants sont courageux. Mon rêve, ce serait de devenir rappeur. Pour cela, je dois déjà écrire un texte. Asmir
J’ai aimé le film parce que l’amitié de Nirmala et Khendo est très belle. J’ai beaucoup pleuré. Mon rêve serait d’être esthéticienne. Pour cela je dois aller au lycée. Jade
J’aimais beaucoup comme Maud exprimait ses émotions. Nirmala et Khendo ont appris à rester patientes ; elles se sont battues pour être encore plus fortes. Charles est aveugle et il m’a appris à ne jamais abandonner : on peut tous y arriver ! Ce n’est pas grave si on est différent comme Xavier atteint d’albinisme, peu importe la couleur de peau et le handicap. Dana
Mme Girard et Mme Tayot